Chaire UNESCO-Bernard Maris

CHAIRE UNESCO BERNARD MARIS - ÉCONOMIE SOCIÉTÉS
UNE CHAIRE INTERNATIONALE D’ÉCONOMISTES CITOYENS

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Première convention citoyenne sur l'économie

Adresse citoyenne aux économistes

1 - Qui sommes-nous ? Pourquoi sommes-nous là ?

Nous sommes un groupe de 14 citoyens soucieux des enjeux vitaux de notre monde et animés par une nouvelle approche de l’économie favorisant le bien-être humain.

La création de la Chaire Unesco Bernard Maris, et le processus de convention citoyenne, nous donnent l’opportunité d’apporter notre contribution à l’expression de la parole citoyenne.

Pourquoi nous sommes là ?

Ce qui nous habite Au-delà de la satisfaction de « faire sa part » à l’image du colibri, ce processus générant l’intelligence collective par la coopération, nous permet de proposer un point de vue différencié sur l’économie en tant que telle et son implication directe et indirecte sur ce que nous vivons dans nos quotidiens.

Au-delà des utopies, nos lignes directrices constituant un nouveau paradigme sont construites sur la base des besoins fondamentaux de l’être humain. Ce nouveau regard prend sa source non pas de nos envies d’un meilleur partage des richesses ou d’une réduction des inégalités mais des besoins fondamentaux d’origine comme le besoin de justice ou d’émancipation de l’homme dans un cadre de vie respectant les besoins vitaux : manger, se loger, se soigner.

En conséquence, ce nouvel équilibre social tend à sanctuariser un socle de besoins et donc de biens communs nécessaires à leurs satisfactions. 

Nos priorités

De ce lieu d’intériorité citoyenne, nous ressortons 4 sujets majeurs :

  • Réduire les inégalités,
  • Respecter, vivre en harmonie avec notre environnement,
  • Prendre soin des peuples confrontés aux mouvements migratoires,
  • Limiter et contrôler les dérives de la finance. 

Nos satisfactions

Cette initiative a reçu un bel accueil des différents acteurs des sciences économiques et tous ont exprimé un souhait et une envie d’y participer pour être confrontés à cette interrogation citoyenne.

Cet élan s’est retrouvé naturellement au sein des tables rondes et à même été prolongé en dehors par des échanges informels. Les économistes sont persuadés qu’il va se passer quelque chose et reconnaissent facilement que ce type d’initiative est générateur de matière non encore explorée.

En quelques heures nous avons fait passer nos interlocuteurs du « quand » au « quoi », aux « effets ». Ils ne restaient pas forcément bloqués sur la prévision et la survenance d’un phénomène cyclique d’un modèle économique mais cherchaient à comprendre ce qui va se produire concrètement.

Notre regard extérieur sur le comportement des acteurs des sciences économiques a conduit nos interlocuteurs à énoncer un manque de code de déontologie. Nous avons accueilli une demande d’assistance pour les protéger et notamment à l’égard de la dépendance des financeurs de leurs travaux.

Avec cette Convention, la preuve est faite qu’en 2 mois un panel de citoyens volontaires peut s’emparer de sujets complexes et en apporter une vision nouvelle et constructive. 

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